Genre littéraire : Histoire de France - témoignage
Titre : Un gone dans le djebel
Auteure : Patricia Mariani
Autoédition
Format 15 x 21 cm - 423 pages – nombreuses photos du photographe Arthur Smet – livre broché – autoédition
Résumé : René Khélifati fut adopté par un Kabyle immigré à Villeurbanne durant la seconde guerre mondiale. Un Kabyle qui lui donna un foyer et son nom. Alors, lorsqu’il fut « appelé sous les drapeaux », la première crainte de René fut de se retrouver en Kabylie, face à « sa famille adoptive ». Car, comme tant d’autres appelés, René Khélifati a vécu ses vingt ans à faire une guerre qui n’en était pas une, une guerre sans nom qui ne fut reconnue qu’en 1999… par le Président de la République Jacques Chirac. Chirac qui, jeune lieutenant, passa lui aussi, comme Fati, par la Ferme Terpant à Lavayssière.
Plus de 50 ans après les Accords d’Evian, la guerre d’Algérie est toujours là, comme une plaie qui ne cicatrise pas. Outre une période de l’Histoire de deux pays, ce livre est aussi celle de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants de tous horizons qui n’oublieront jamais.
La genèse : René Khélifati avait entrepris d’écrire « sa guerre d’Algérie ». Décédé bien trop tôt, il ne put l’achever. Bien plus tard, Patricia Mariani, sa fille, décida de prendre la plume pour aller explorer cette période mal connue. Le résultat est un livre d’une dimension culturelle intéressante, illustré de nombreuses photos d’Arthur Smet, photographe de Marcel Bigeard à Saïda, apportant un témoignage visuel historique très riche.
Le livre est composé d'une première partie biographique (environ 320 pages) et historique, la deuxième, environ 100 pages, s'ouvrant sur des témoignages de civils, de militaires, de Harkis ainsi qu'un bref contenu pédagogique explicatif.
Il se conclut par de magnifiques photos de femmes et d'enfants prises par mon ami Arthur à cette période.
L’avantage certain de l’autoédition, c’est la liberté d’expression… ce qui n’a pas de prix. Enfin si. Des couts d’impression et de charges plus importants… l'inconvénient qui rend difficile la diffusion du livre en librairie.
L'objectif à terme étant de trouver un éditeur qui comprendra la démarche pédagogique et historique de ce livre, la publication étant un vrai métier qui n'est pas le mien.
Titre : Un gone dans le djebel
Auteure : Patricia Mariani
Autoédition
Format 15 x 21 cm - 423 pages – nombreuses photos du photographe Arthur Smet – livre broché – autoédition
Résumé : René Khélifati fut adopté par un Kabyle immigré à Villeurbanne durant la seconde guerre mondiale. Un Kabyle qui lui donna un foyer et son nom. Alors, lorsqu’il fut « appelé sous les drapeaux », la première crainte de René fut de se retrouver en Kabylie, face à « sa famille adoptive ». Car, comme tant d’autres appelés, René Khélifati a vécu ses vingt ans à faire une guerre qui n’en était pas une, une guerre sans nom qui ne fut reconnue qu’en 1999… par le Président de la République Jacques Chirac. Chirac qui, jeune lieutenant, passa lui aussi, comme Fati, par la Ferme Terpant à Lavayssière.
Plus de 50 ans après les Accords d’Evian, la guerre d’Algérie est toujours là, comme une plaie qui ne cicatrise pas. Outre une période de l’Histoire de deux pays, ce livre est aussi celle de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants de tous horizons qui n’oublieront jamais.
La genèse : René Khélifati avait entrepris d’écrire « sa guerre d’Algérie ». Décédé bien trop tôt, il ne put l’achever. Bien plus tard, Patricia Mariani, sa fille, décida de prendre la plume pour aller explorer cette période mal connue. Le résultat est un livre d’une dimension culturelle intéressante, illustré de nombreuses photos d’Arthur Smet, photographe de Marcel Bigeard à Saïda, apportant un témoignage visuel historique très riche.
Le livre est composé d'une première partie biographique (environ 320 pages) et historique, la deuxième, environ 100 pages, s'ouvrant sur des témoignages de civils, de militaires, de Harkis ainsi qu'un bref contenu pédagogique explicatif.
Il se conclut par de magnifiques photos de femmes et d'enfants prises par mon ami Arthur à cette période.
L’avantage certain de l’autoédition, c’est la liberté d’expression… ce qui n’a pas de prix. Enfin si. Des couts d’impression et de charges plus importants… l'inconvénient qui rend difficile la diffusion du livre en librairie.
L'objectif à terme étant de trouver un éditeur qui comprendra la démarche pédagogique et historique de ce livre, la publication étant un vrai métier qui n'est pas le mien.